作詞 : Soriano Esteban
作曲 : Perrin Olivier/Arama Theo
Les idées sont lourdes
J’les dessine au noir sur noir
Je n’ai plus d’espoir sournois
Un instinct de loup
Je ne vois que c’que j’crois
J’mets une croix sur la tête de la proie
Le regard est terne dirigé vers le sol
Faut baisser la peine autour de moi j’essaye
Pour panser mes plaies je resterai tout seul
Et tout peut changer en un battement de cil
On conna?t bien la ....
Connait bien la haze dans la feuille en attendant le jour de paye
Faut vider la teille
Sinon j’reste éveillé
La nuit j’suis en lay’
Le matin est cerné
Et pour mes frères
Un avenir en or
J’y pense dans l’appart
La barrette m’endort
Et faut pas s’en faire j’finirai dans les cordes
Pour faire la monnaie j’connais bien la méthode
Les lumières, de la ville, éblouissent, la fenêtre
J’me revois, dans le vide, ou le seum, a pu na?tre
Et j′retire 2, 3 taffes pour éliminer les tracas
J’en ai vu d’autres à terre dis moi qui m’a tendu la main
Les lumières, de la ville, éblouissent, la fenêtre
J’me revois, dans le vide, ou le seum, a pu na?tre
Et j′retire 2, 3 taffes pour éliminer les tracas
J’en ai vu d’autres à terre dis moi qui m’a tendu la main
Bah oui mon poto la vie c’est des pertes et des choix
Parfois des plans alléchants qui te laissent reposer sur la chance
L’echec nous importune mais
J’dois finir fortuné
La fume m’apporte une aide
Maman j’peux pas parler j’passe sous le tunnel
Des amis partis quand j’en avais besoin pour me consoler j’achetais pas de la pessa
Lumière de la ville sur la vitre du merco quand j’ai dis j’me lance mais j’ai rien fait en 2 ans
Le temps passe emporte les potes c’est abusé
Au stud le mercredi on criait ?a tue ?a
Et cul sec à celui qui termine le couplet
Quand j’écoute ces maquettes putain ?a fait bizarre
Chut allez hophophop
Grille 5,6 feu comme un cococops
Dans le bloblock note j’mets la prod en cloque on les casse en 4 comme des cha?nes en toc
On déboule on déballe on remballe on décale
Dans la feuille j’ai des produits bien plus que l'étal
Faudrait pas recourir à l’option du métal
Nan, vaudrait mieux que j’me calme
Les lumières, de la ville, éblouissent, la fenêtre
J’me revois, dans le vide, ou le seum, a pu na?tre
Et j′retire 2 3 taffes pour éliminer les tracas
J’en ai vu d’autres à terre dis moi qui m’a tendu la main
Les lumières, de la ville, éblouissent, la fenêtre
J’me revois, dans le vide, ou le seum, a pu na?tre
Et j′retire 2 3 taffes pour éliminer les tracas
J’en ai vu d’autres à terre dis moi qui m’a tendu la main